COMMUNAUTÉ TOGOLAISE AU CANADA
21 décembre 1991 – 21 décembre 2011 : 20 ans de services bénévoles!

LANCEMENT OFFICIEL DU PROGRAMME DE CÉLÉBRATION DU VINGTIÈME ANNIVERSAIRE DE CRÉATION DE LA COMMUNAUTÉ TOGOLAISE AU CANADA

MESSAGE DE MONSIEUR CELSE KAFUI AMÉDIN,
PRÉSIDENT DU CONSEIL D’ ADMINISTRATION

Chers Compatriotes canadiens et togolais,
Chers partenaires,
Mesdames et Messieurs les membres,
Mesdames et Messieurs les sympathisants de la Communauté Togolaise au Canada, Chers amis du Canada et du Togo,

Créée au cours de l’Assemblée Générale du 21 décembre 1991, la Communauté Togolaise au Canada fête en ce jour son vingtième anniversaire. Il faut bien le souligner, il s’agit de noces de porcelaine synonyme d’engagement durable au service d’une communauté qui constitue sa principale force mais qui revêt aussi toute sa fragilité, eu égard aux nombreux défis qui sont les siens aujourd’hui. Permettez-moi, Chers membres et sympathisants de la CTC, de vous souhaiter en ce jour solennel, bonne fête; bonne fête au nom du Conseil d’administration et des membres de la Communauté Togolaise au Canada, bonne fête en mon nom propre.

Que de chemins parcourus, que de défis relevés! Oui, vous pouvez être fiers d’appartenir à une communauté de pionniers, une communauté d’excellence, une communauté de services! C’est le lieu de rendre un hommage mérité à ces pionniers, qui y ont cru; à ces hommes et femmes, qui, le samedi 21 décembre 1991, en cette journée de solstice d’hiver, bravèrent le froid canadien pour fédérer leurs énergies et porter sur ses fonds baptismaux, cette communauté de visions, qu’ils dénommèrent Communauté Togolaise au Canada. Certes, il serait prétentieux de vouloir tous les citer ici, mais permettez-moi une fois de plus, de rendre un hommage mérité à Mesdames Micheline Randolph, Virginie Adjoavi Souka, Délali Wilson, à Messieurs Salomon Agbenya, Sébastien Ahado, Alexis Ajavon, Akouété Akakpo-Vidah, Louis Assigbé, Yao Assogba, Yaovi Bouka, Adandé Édorh, Atoulé Kokoroko, Martin Mikem, Adadé Potison, et Feu Cyrille Adjogblé; que la Terre lui soit légère! suivre...

Fête de fin d'année Ottawa-Gatineau

Afin d'avoir une variété, vous trouverez ci-dessous la liste non exhaustive des mets pour notre fête de fin d'année. Il s'agira donc pour chaque famille de faire un ou des choix (mets et boissons). Des familles pourraient se regrouper pour faire des choix. Vous comprendrez que cette proposition est nécessaire afin d'éviter que tout le monde n'apporte la même chose (riz, poulet et bière - ha-ha-ha). .




TRÈS IMPORTANT: Nous aurons besoin des chaises et ceux qui le peuvent, pourraient les apporter bien avant la date de la fête.





TRES IMPORTANT: Nous aurons besoin des chaises et ceux qui le peuvent, pourraient les apporter bien avant la date de la fête.

Merci de nous confimer vos choix de mets/boisson à apporter.

La Crise Estudiantine

Voir Commentaires et Critiques sur le Livre de Antoine Koffi Nadjombé

DEPUIS LOME: Jean Pierre Vincent pour : POINT SUR LA CRISE ESTUDIANTINE.

Aprés la signature de l'accord tripartite (gouvernement, autorités universitaires et associations d étudiants) c'est son application et son suivi qui sont d'actualité, meme si rien ne semble bouger pour le moment , des efforts sont quand meme consentis par les dirigeants pour satisfaire les étudiants, Au rang des clauses de l accord, la construction des forages, ce qui fut fait mais de quelle façon? l'eau est de très mauvaise qualité et salée donc inutilisable... Coté académique, reconnaissons que des efforts ont été consentis et que là c'est le processus d'inscription qui se retrouve un peu compliqué...
le véritable problème qui remue l'université actuellement- se résume à une seule question: AIDES OU BOURSES ? Pour la grande masse, les aides sont une forme d allocation que l Etat alloue aux étudiants depuis un certain nombre d années et qui s élèvent à 95000FCFA par an (4 tranches de 20000 et une prime déquipement de 15 000).
En effet, lers accords prévoyaient l'introduction d'un système de bourses à compter de l année 2011-2012 et pour fixer les conditiopns d octroi de ses bourses, une commission cnstitués de représentants d'étudiants(dt ADOU SEIBOU) et des représentants du gouvernement. voici un extrait substanciel de ce qui a été arrèté , signé par toutes les parties et qui a été soumis au gouvernement pour adoption:
pour les étudiants en parcours license

--- Une allocation de 47500 FCFA par semestre sera alloué a tout étudiant ayant validé 50% des unités d enseignement de l'année précédente, avoir moins de 23 ans pour les hommes, 25 ans pour les femmes
--- une bourse mensuelle de 22500 sera alloué aus étudiants ayant éliminé plus de 70 % des UE de l anné précédente avec les mm critères d age que les allocations
--- la prime de soutenance est fixé à 50 000 FCFA pour la licence...

(il y a bien d autres points mais je t enverrai si possible scanner du PV de cette réunion si possible).
alors la polémique est né d abord du fait que les autres associations universitaires ont entamé une campagne de communication visant à faire comprendre aux étudiants que le MEET a demandé les bourses alors qu elle ne maitrise pas les contours de la chose. leur principal argument est qu'avec l'ancien système d aide, tous les étudiants en bénéficiaent alors qu avec ce nouveau système , peu seont servis. Voici u n extrait du communiqué des déléhués généraux: "nous nous sommes rendus compte que le système de bourses brandis par certains comme un trophée de guerre s'avère être un désavantage pour la majorité des étudiants... " C est pour cela que le MEET a cru bon d organiser une AG le jeudi 24 novembre pour éclairer la base sur le problème...
Il s ont eu à dire qu'ils ont, compte tenu de l age de scolarisation très avancé ds certaines régions proposé 25 ans comme critère d age pour les deux sexes , soixante mille par semestre pour le montant des allocations sociales et la suppression du critère 50 % de UE à valider pour les allocations ..
BREF , au cours de cette AG les étudiants ont apporté leurs approbations au nouveau système mais vu qu il exclut plus de 60% des étudiants, ils ont émis le voeu de l assouplissement des conditions. Le MEET a donc envoyé une lettre d information au président de la république avec touter les doléances, la balle est maintenant dans le camp du gouvernement qui doit tout faire pour éviter le syndrome de l année passée car la lettre du MEEt est assorti d'un moratoire d un mois.....
Depuis lomé, jean pierre vincent....


Le Collectif pour la démocratie

Une diaspora au service du développement de son pays : Comment y parvenir au Togo? ...Le cas le plus connu au Togo est le Collectif pour la démocratie au Togo qui regroupe la Communauté Togolaise au Canada (CTC).

Une diaspora au service du développement de son pays : Comment y parvenir au Togo?

Dans l’analyse du processus de développement, la variable migration se perçoit à la fois sous une optique de perte et de gain pour la construction des pays de départ. Les données de ce XXIe siècle accordent une plus grande importance au côté positif de cette variable. En effet, beaucoup d’analystes s’accordent aujourd’hui à reconnaître que les émigrants peuvent représenter potentiellement des diasporas susceptibles d’être mobilisées au profit de leur pays d’origine.

Il suffit de tourner le regard vers les activités des diasporas de certains pays pour conclure qu’elles en représentent un flux et un reflux de forces économique, politique, sociale et culturelle potentielles. La Banque Mondiale indique qu’en 2005, les travailleurs migrants ont transféré 167 milliards de dollar US vers les pays les moins avancés et près de 8 milliards de dollar US vers l’Afrique subsaharienne. Les deux millions de Sénégalais vivant à l’étranger ont transféré par circuit officiel 300 milliards de FCFA en 2005. Au Ghana, toujours pour la même année, le budget de l’Etat a été financé à 50% par les Ghanéens de l’étranger. Le parc HSINCHU, leader mondial dans le secteur des ordinateurs personnels et des circuits intégrés, n’a-t-il pas été créé grâce aux scientifiques et ingénieurs taïwanais de retour des USA dès 1996?

Fort de ce constat, on peut affirmer, sans se tromper, que le continent africain pourrait trouver ses propres solutions à ses problèmes de développement et compenser ainsi l’amenuisement des ressources de l’aide qu’il reçoit des pays du nord s’il exploitait les moyens financiers et humains de sa diaspora.

En réalité, dans de nombreuses localités de la plupart des pays africains, les envois de fonds des diasporas constituent une importante source de revenu des individus et des familles.

Au Togo, les fonds transférés par la diaspora ont évolué de 115 milliards de FCFA en 2008 à environ 200 milliards (10,3 % du PIB) en 2009. Certes, ces chiffres sont non moins considérables, mais, comment la diaspora togolaise peut être davantage mise à contribution pour le développement socio économique de notre pays?

Avant de parvenir à quelques pistes de solutions, il serait intéressant de mieux appréhender la notion de diaspora.

Du grec sporo qui veut dire graine ou speira, semer, le mot diaspora signifie dispersion et a été utilisé à l’origine pour désigner la dispersion des établissements helléniques autour de la Méditerranée. Il s’agissait précisément de la migration des savants grecs expatriés et diffusant à travers le monde la culture hellénique.

Dans la tradition biblique, le terme a été utilisé pour désigner la dispersion des Juifs et enfin pour parler des peuples ne disposant plus de territoire national autonome, comme les Palestiniens ou les Kurdes.

A partir des années 1980, la géographie a eu recours à la notion de diaspora pour nommer les communautés nationales migrantes en interaction entre elles et avec le pays d’origine.

Par diaspora togolaise ou Togolais de la diaspora, on devra donc entendre, les communautés des différentes régions du Togo installées dans les quatre coins du monde où elles travaillent, vivent ou survivent tant bien que mal.

Aujourd’hui, les difficultés statistiques au Togo empêchent de dire exactement le nombre de personnes qu’il faut incorporer dans cette catégorie de citoyens qui peut être considérée comme un prolongement de la société civile togolaise.

De manière générale, les associations diasporiques participent à la lutte pour le développement de leur pays d’origine, notamment dans la promotion de la culture démocratique et de l’Etat de droit. Le cas le plus connu au Togo est le Collectif pour la démocratie au Togo qui regroupe la Communauté Togolaise au Canada (CTC).

Le Gouvernement togolais, dans sa politique générale pour le développement du Togo, fait de la mobilisation de sa diaspora, une pièce maîtresse surtout dans son processus d’édification nationale. Pour le Chef du gouvernement, SEM Gilbert Fossoun HOUNGBO, les Togolais de la diaspora « constituent une chance pour le pays » en ce qu’ils ont bénéficié et bénéficient encore, dans les pays du nord, de bons niveaux de formation notamment dans les professions libérales, dans les secteurs scientifiques et technologiques de pointe.

Au-delà des fonds qu’ils transfèrent pour soutenir leurs familles, les expatriés peuvent contribuer au mieux au développement des capacités scientifique et technologique des Togolais restés sur le territoire national.

En effet, si la science et la technologie ont été et demeurent des marques profondes des effets migratoires des savants, chercheurs, professeurs et autres, deux mécanismes peuvent stimuler les expatriés togolais à une contribution plus efficace au développement de leur pays natal :

- la définition des conditions politiques et sociales favorables au retour des cerveaux;

- la mise sur pied des réseaux de mobilisation à distance et de reconnexion des chercheurs, des ingénieurs de la diaspora avec la communauté scientifique présente sur le territoire national.

Que ce soit pour l’une ou l’autre des options, le rôle de l’Etat est très déterminant dans la réussite des projets diasporiques. L’Etat devra créer les conditions politiques, économiques, sociales, juridiques et culturelles nécessaires pour mettre à profit tous les potentiels que représente sa diaspora composée de toutes les couches sociales. L’exemple des nouveaux pays industrialisés devrait être ici un signe instructeur. En effet, ces pays, à la fin des années 1970, ont mis en place des politiques et des programmes visant une réinsertion systématique de leurs nationaux formés à l’étranger, et ont financé des projets d’aide au retour, dans leur pays d’origine, des membres hautement qualifiés.

Les dirigeants togolais, en premier, devraient donc réitérer leur engagement dans ce domaine et considérer l’apport de la diaspora togolaise comme une alternative à l’aide publique au développement qui a endetté le pays depuis des décennies. C’est une tâche qui ne semble pas très aisée. La première initiative en la matière consistant à répertorier les émigrants togolais incombe, sans aucun doute, au Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération qui doit définir en la matière une politique claire.

En rendant opérationnelle la Direction des Togolais de l’Extérieur (DTE), on peut affirmer, sans se tromper, que S.E.M Elliott OHIN, Ministre d’Etat, Ministre des Affaires Etrangères et la de Coopération, entend faire de ses compatriotes de l’extérieur, un des principaux acteurs de développement du Togo. Mais encore faut-il que des moyens nécessaires soient mis à sa disposition par l’Etat pour le fonctionnement de ladite direction.

« Togolais viens, bâtissons la cité », cet appel inscrit dans notre hymne national doit être entendu par la diaspora togolaise pour qu’ensemble, nous puissions bâtir un Togo nouveau et prospère.

A terme, l’expérience togolaise en matière de la mise à contribution des compétences de sa diaspora devra amener l’opinion publique nationale et internationale à préférer les termes mobilité, circulation ou échange de cerveaux à l’expression « fuite de cerveaux ».

Auteur : KAMELE Malemda, Chargé d’études à la DADS

Fête de fin d'année de la CTC section Ottawa-Gatineau‏


Cliquer le lien suivant: pour enregistrer vos Critiques et commentaires
Voici les résultats préliminaires du sondage

Vous avez jusqu’au 30 novembre pour donner votre avis sur l'organisation d'une fête pour souligner la fin de l'année 2011 et pour célébrer la nouvelle année 2012. Participer au sondage via le formulaire; Questionnaire.

Fortement d'accord pour souligner la fin de l'année 2011 et pour célébrer la nouvelle année 2012 Oui ← Non Proposition Total: 33
Date plus favorable : 30/12/2011

n/a n/a Total: 26
Cotisation : 6 ← n/a n/a Total: 6
Pot-Luck 27 ← n/a n/a Total: 27



Bonjour chez vous,
Les fêtes de fin d'année s'approchent. Au nom du C.A de la CTC et pour la relance de notre association, je viens par la présente demander votre avis.

Seriez-vous d'accord pour l'organisation d'une fête pour souligner la fin de l'année 2011 et pour célébrer la nouvelle année 2012? Si oui, parmi les dates suivantes 28-29-30/12/2011, laquelle vous paraitrait favorable? Etes-vous favorables pour une cotisation ou un pot-luck (à la fortune du pot)?

Je tiens à vous souligner que cette fête est ouverte à TOUTES les familles togolaises. Toutes vos prositions sont les bienvenues.
Je vous prie de bien vouloir partager ce message et de me répondre dans un délai raisonnable.
Merci | Cliquez-ici
Alexis (613)818-8669 | (819) 557-0735

BlogMaster/Apia Noel

Afrique, Tyrannie Corruption Despotisme

VOUS ÊTES INVITÉ À LA PRESENTATION DU LIVRE :
AFRIQUE, TYRANNIE CORRUPTION DESPOTISME
À GATINEAU (UQO):
Cet ouvrage s’adresse à toutes celles et tous ceux qui s’intéressent au destin de l’homme noir, quel que soit leur niveau d’instruction, de curiosité et plus spécifiquement aux lecteurs qui se consacrent aux grands problèmes existentiels et essentiels que connaissent ou subissent les Noirs.
Cet ouvrage se veut aussi un essai critique objectif s’appuyant sur la lecture de nombreux livres d’histoire, politique, revues, témoignages, des expériences personnelles ainsi que des observations auscultées de l’homme noir qu’ils soient Africains ou Caribéens.
En conséquence, les lecteurs trouveront dans ce livre des approches inédites, des propos et des arguments à la limite de l’acceptable pour le commun des mortels, mais telle est la triste réalité dans la majorité des scénarios. Toutefois, c’est en tout optimisme que nous entrevoyons le désordre en soi comme prélude à l’ordre manifeste. Tout compte fait, les Noirs ont accompli des pas irréversiblement géants en quelques décennies, et ce, malgré tous les obstacles incommensurables auxquels ils sont quotidiennement confrontés.

Pavillon Lucien Brault B1030
DATE : 26 NOVEMBRE 2011
HEURE : 14H00 – 18H00
Cliquer ici pour voir le lancement du 12 novembre dernier à Montréal de Koffi AntoineNadjombé

Cher Papa,

Une longue année s'est écoulée depuis ton départ et nous n’arrivons pas à nous habituer à ton absence, mais le souvenir des beaux moments passés avec toi sont toujours avec nous. Papou (comme t'appelle Julia), notre cœur est brisé de douleur. Papa, la seule chose qui nous soulage, c'est que tu ne souffres plus. Le reflet de ta présence illumine toujours notre nouvelle demeure et nous aide à avancer chaque jour. Tu nous manques énormément. Avec l'assurance et la foi en notre Seigneur, nous nous reverrons un jour. Veille sur nous comme tu l'as toujours fait de ton vivant. Tu es notre champion, NOTRE PAPOU FORMIDABLE.
Tes parents, tes sœurs, tes frères, tous les membres de ta famille, font souvenir de ta mémoire chaque jour. Ensemble, nous comptons sur la miséricorde infinie de notre Dieu. Papa, nous t'aimons beaucoup, beaucoup.

Orléans, Canada, 9 octobre 2011
Édith, Julia, Nathalie & Sophie Adjogblé
PS: Vous êtes convié(es) à une MESSE DE RECUEILLEMENT qui sera célébrée en la mémoire de Cyrille le dimanche 30 OCTOBRE 2011 à 11h la cathédrale St-Joseph à Gatineau, 245 boul. St-Joseph, Secteur Hull, Gatineau, QC.
LA MESSE SERA SUIVIE D'UN PETIT RAFRAICHISSEMENT.
«Si Papa est mort, c'est parce que Papa a vécu.»
Sophie Adjogblé, 13 novembre 2010.


«Tout ce qui vit doit mourir.
Afin que la vie soit précieuse.
Une chose que tu possèdes pour toujours n'est jamais précieuse.»

Chaim Potok

Edem Awumey


Edem Awumey: entre Hull, Lomé et La Nouvelle-Orléans

GENEVIÈVE VÉZINA-MONTPLAISIR
MÉTRO
Publié: 11 septembre 2011 17:25
Mis à jour: 11 septembre 2011 17:49
Sous la plume d’Edem, on suit le voyage de Sambo, un jeune homme qui a toujours vécu avec sa tante Rose, à Lomé, et qui doit maintenant respecter les dernières volontés de la vieille dame, morte à l’issue d’un long combat contre la maladie et la folie. Cette dernière souhai­­tait que ses res­tes soient enterrés à La Nouvelle-Orléans, ville où ses an­cêtres ont connu l’esclavage et dont elle rêvait sans ces­s­e.

Le périple de Sambo le mè­nera à Hull, d’où il doit prendre un autobus qui le con­duira à bon port. Dans la gare, il fera la rencontre de Louise, une jeune femme qui rêve de l’Acadie et de New York, et avec qui il décidera de faire un petit bout de chemin.

Hull, New York, La Nouvelle-Orléans et Dieppe, en Acadie : Edem Awumey a séjourné dans toutes les villes où se passe l’action de sonroman pour pouvoir en décrire les ambiances. La ville de Lomé, il la connaît par cœur pour y avoir passé une bonne partie de sa vie. Il peut ainsi raconter que ses berges se désagrègent, que les enfantsqui y habitent ne mangent pas toujours à leur faim et que les touristes qui envahissent ses plages profitent trop souvent de leur vulnérabilité…

La Nouvelle-Orléans, l’auteur ne l’avait jamais visitée, et cinq ans après l’ouragan Katrina, il est allé observer ce que les ravages de l’eau avaient fait à cette ville de la Louisiane.

«Quand on écrit un roman dont des scènes se passent à l’étranger, on n’est pas obligé de se rendre sur les lieux où on situe l’action, mais quand on le fait, on découvre des choses qu’on ne voit pas dans les médias, affirme Edem Awumey. Par exemple, j’ai vu dans les bayous, une foule de maisons abandonnées avec des inscriptions “Future home of hope, Future home of love”. Les habitants de ces maisons n’y étaient plus de corps, mais leurs pensées étaient restées là, et j’ai eu envie d’inclure ce détail dans mon roman.»

Quant à Hull, l’écrivain habite tout près depuis maintenant six ans. Après des an­nées à apprivoiser son nouveau pays et sa nouvelle ville, il était prêt à lui donner une place dans son récit.

«Le dialogue s’est peu à peu installé entre moi et le silence des rues de la ville, confie le nouveau citoyen canadien. Ce pays a commencé à me parler, je l’ai donc écouté!»

La pression des prix
Avec son premier roman paru en 2005, Port-Mélo, Edem Awumey a remporté le Grand Prix littéraire de l’Afrique noire. L’essai qu’il a publié en 2006, Tierno Monénembo, le roman de l’exil, a été salué par la critique. Son deuxième roman, Les pieds sales, s’est quant à lui retrouvé en lice pour le prix Goncourt en 2009.

L’au­teur sent-il maintenant de la pression, à l’aube de la sortie de son quatrième ouvrage? «Non, pas vraiment, dit-il. Je sais que les critiques vont avoir un regard plus pointu sur mon œuvre, mais je ne pense pas à eux quand j’écris, car si je le faisais, cela donnerait un mauvais roman!»


Rose déluge
Boréal
En librairie mardi

Nouveau conseil

COMMUNIQUÉ DU 05 OCTOBRE 2011, ÉLECTION D’UN NOUVEAU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA CTC
Le samedi 1er octobre 2011, les membres de la Communauté Togolaise au Canada (CTC) ont élu au cours d’une Assemblée Générale Extraordinaire une nouveau Conseil d’Administration dont la   composition est la suivante:
Celse Kafui Amédin, Président;
Fernand Aguey Kpati, Vice-président chargé de projets;
Raymonde W. Danikey, Secrétaire Générale;
Hermann K. Agbekponou, Administrateur chargé des affaires financières;
Sanny Akobi, Administrateur chargé des communications;
Célestin K. Badjagbo, Administrateur chargé de la mobilisation communautaire;
Alexis A. Ajavon, Conseiller.
Selon les recommandations adoptées par l'Assemblée générale, le nouveau Conseil d’Administration à la lourde charge de redynamiser la Communauté durant une période transitoire d'un an en créant une synergie qui permettra de relever ensemble les défis majeurs liés respectivement à l’intégration au Canada et à la situation socio-économique du Togo.
La nouvelle équipe invite tous les Togolais et amis du Togo à se joindre à elle pour contribuer au rayonnement de la diaspora toute entière et à la relève du Togo.

Celse Kafui Amédin, Président; Fernand Aguey Kpati, Vice-président chargé de projets; Raymonde W. Danikey, Secrétaire Générale; Hermann K. Agbekponou, Administrateur chargé des affaires financières; Sanny Akobi, Administrateur chargé des communications; Célestin K. Badjagbo, Administrateur chargé de la mobilisation communautaire; Alexis A. Ajavon, Conseiller.


Fait à Sherbrooke, Québec, Canada, le 7 octobre 2011
Pour la CTC,
Celse Kafui Amédin,
Président de la CTC
   relancectc@gmail.com

Assemblée générale


Messieurs et Mesdames,


La Communauté Togolaise au Canada a le plaisir de vous inviter à présenter un kiosque et à faire une intervention lors de son AG qui aura lieu le 1er Octobre 2011.
En effet, le BE de la CTC dans le souci de bien informer ses membres sur les possibilités et la nécessité de posséder des services financiers adéquates (Assurances et placements financiers) et les diverses possibilités économiques de possession (première habitation, vente d’habitation, achat d’une autre habitation) vous invite à venir présenter un kiosque d’information.
Notre but est que Chaque membre qui sera présent à cet AG puisse comprendre la nécessité de posséder une assurance vie et ces connexes et de tirer profits des explications sur l’existence des autres produits financiers tels que (REER, Épargne Étude, Placements, CELI etc.)

Notre démarche consiste aussi à ce que nos membres puissent être bien informés des possibilités et des modalités d’effectuer l’achat ou la vente d’une maison et surtout l’existence dans la communauté des professionnels des métiers (Courtier Immobilier, Agent Immobilier, Assureur, Banquier etc.)

Vous êtes invités à confirmer votre participation enfin que nous puissions aménager dans le programme de l’ordre du jour une partie réservé à votre intervention. Nous vous signalons que d’autres confrères dans les domaines y seront présents.

Pour notre assemblée générale du samedi 01 octobre 2011 prochain, le repas du midi sera offert de midi à 13h. Les contributions volontaires sont acceptées. NB La communauté vous serait reconnaissant pour votre donation enfin de palier aux diverses dépenses liées à l’organisation de l’AG.

Pour le BE de la CTC
ZafoeKomlaNutepe
Président Fédéral

Cher Papa,


Une longue année s'est écoulée depuis ton départ et nous n’arrivons pas à nous habituer à ton absence, mais le souvenir des beaux moments passés avec toi sont toujours avec nous. Papou (comme t'appelle Julia), notre cœur est brisé de douleur. Papa, la seule chose qui nous soulage, c'est que tu ne souffres plus. Le reflet de ta présence illumine toujours notre nouvelle demeure et nous aide à avancer chaque jour. Tu nous manques énormément. Avec l'assurance et la foi en notre Seigneur, nous nous reverrons un jour. Veille sur nous comme tu l'as toujours fait de ton vivant. Tu es notre champion, NOTRE PAPOU FORMIDABLE.

Tes parents, tes sœurs, tes frères, tous les membres de ta famille, font souvenir de ta mémoire chaque jour. Ensemble, nous comptons sur la miséricorde infinie de notre Dieu. Papa, nous t'aimons beaucoup, beaucoup.

Orléans, Canada, 9 octobre 2011
Édith, Julia, Nathalie & Sophie Adjogblé

PS: Vous êtes convié(es) à une MESSE DE RECUEILLEMENT qui sera célébrée en la mémoire de Cyrille le dimanche 30 OCTOBRE 2011 à 11h la cathédrale St-Joseph à Gatineau, 245 boul. St-Joseph, Secteur Hull, Gatineau, QC.
LA MESSE SERA SUIVIE D'UN PETIT RAFRAICHISSEMENT.

«Si Papa est mort, c'est parce que Papa a vécu.»
Sophie Adjogblé, 13 novembre 2010.


«Tout ce qui vit doit mourir.
Afin que la vie soit précieuse.
Une chose que tu possèdes pour toujours n'est jamais précieuse.»

Chaim Potok

Annonces nécrologiques

Avis de décès


Photos et Videos

Nouveau conseil

COMMUNIQUÉ DU 05 OCTOBRE 2011, ÉLECTION D’UN NOUVEAU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA CTC

Le samedi 1er octobre 2011, les membres de la Communauté Togolaise au Canada (CTC) ont élu au cours d’une Assemblée Générale Extraordinaire une nouveau Conseil d’Administration dont la composition est la suivante:
Celse Kafui Amédin, Président;
Fernand Aguey Kpati, Vice-président chargé de projets;
Raymonde W. Danikey, Secrétaire Générale;
Hermann K. Agbekponou, Administrateur chargé des affaires financières;
Sanny Akobi, Administrateur chargé des communications;
Célestin K. Badjagbo, Administrateur chargé de la mobilisation communautaire;
Alexis A. Ajavon, Conseiller.
Selon les recommandations adoptées par l'Assemblée générale, le nouveau Conseil d’Administration à la lourde charge de redynamiser la Communauté durant une période transitoire d'un an en créant une synergie qui permettra de relever ensemble les défis majeurs liés respectivement à l’intégration au Canada et à la situation socio-économique du Togo.

La nouvelle équipe invite tous les Togolais et amis du Togo à se joindre à elle pour contribuer au rayonnement de la diaspora toute entière et à la relève du Togo.


Celse Kafui Amédin, Président; Fernand Aguey Kpati, Vice-président chargé de projets; Raymonde W. Danikey, Secrétaire Générale; Hermann K. Agbekponou, Administrateur chargé des affaires financières; Sanny Akobi, Administrateur chargé des communications; Célestin K. Badjagbo, Administrateur chargé de la mobilisation communautaire; Alexis A. Ajavon, Conseiller.


Fait à Sherbrooke, Québec, Canada, le 7 octobre 2011
Pour la CTC,
Celse Kafui Amédin,
Président de la CTC
relancectc@gmail.com